Le projet s’installe entre Fécamp et Dieppe sur le site du Lac de Caniel, s’inscrivant dans un paysage remarquable, vert, vallonné, proche de la mer. Il s’insère aussi sur un territoire faisant partie intégrante dans la construction des territoires du Grand Paris.
Pensée comme un nouveau symbole identitaire du lieu, l’implantation de la Tour sur sa presqu’île, propose de travailler un bâtiment relativement simple, tout en cherchant une architecture expressive, sculpturale, remarquable de loin comme de près. Cet élément « signal » fonctionne alors comme repère et devient le point de départ ou le point d’arrivée d’une promenade possible, mais aussi le point d’arrêt indispensable pour les sportifs ou amateurs de sensation forte...
Du point de vue de son architecture, cette structure« échafaudée », évoque l’arbre « habité ». A l’image de la Tour-belvédère, la Digue-pont vient elle aussi s’installer délicatement sur le Lac et ses « micro » îles. Composé de caissons flottants, ce franchissement de 240 mètres de long est travaillé comme une vraie promenade sur l’eau.